Quand ses copains regardent babas l’atelier de mécanique de son père, le jeune Ziegler est à la cuisine, avec sa maman. Il veut devenir cuisinier ou pâtissier… On verra. “Mais c’est dur comme boulot, ça, Jean-Claude ! On travaille tout le temps, même les jours fériés !”. A l’âge de 15 ans, le jeune homme suit son instinct et choisit de faire un préapprentissage comme on le propose à l’époque ; histoire de se faire sa petite idée à lui. Et puis Jean-Claude s’embarque dans un CAP pâtisserie, toujours séduit par cette cuisine qui le passionne tout autant.
Au service militaire où il est pâtissier, ses camarades cuisiniers lui donnent leurs trucs. Jean-Claude Ziegler ouvre les yeux, les oreilles et les papilles. Au Bureheisel, il partage et développe, avec l’équipe de Westermann, sa connaissance du fruit de saison et ce goût des alliances fines qui est le propre des grands chefs. Ce sont ces rencontres de parfums et de textures qu’il recherche sans arrêt pour concevoir sa pâtisserie à lui, celle qu’il sait autant créer que déguster en rêve.
De tête, Jean-Claude Ziegler invente et réinvente sa pâtisserie aux couleurs du temps.
Et puis, en 1998, la fameuse pâtisserie Ziegler s’établit avenue de la Forêt-Noire (quelle adresse !). Et les choses se font petit à petit. Suivant sa passion, Jean-Claude est partout, du chocolat dont il est fondu, aux entremets, aux viennoiseries et aux glaces si inventifs et délicieux que l’on fait des kilomètres pour venir les chercher. Depuis vingt ans, dans sa boutique, ça n’arrête pas : tout est coloré, parfumé, gourmand, avenant. Les jeunes femmes qui vous servent sont adorables et très professionnelles. On a envie de goûter à tout.
De tête, Jean-Claude Ziegler invente et réinvente sa pâtisserie aux couleurs du temps. Dans ses mains, tout devient délice ! Les saisons se succèdent avec de nouvelles collections, les classiques se parfont, de nouvelles inspirations gourmandes lui viennent du goût du fruit mur, du chocolat, des agrumes…. Découvrez bientôt les trésors qu’il a imaginé pour nos fêtes ou commandez-lui un gâteau pour le déjeuner de dimanche ou achetez-vous, tout simplement, à la sauvette, un sablé au chocolat à dévorer sur le pouce !
Vous verrez : vous y reviendrez.
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